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HALLE BERRY

 

Née Halle Marie Berry, le 14 Août 1966 à Cleveland, Ohio (Etats-Unis)

Fille d'un médecin afro-américain et d'une infirmière en milieu psychiatrique originaire de Liverpool, Halle Berry est élevée par sa mère après la séparation de ses parents. Décrochant le titre de Miss Teen All-American à 14 ans, finaliste aux concours Miss USA et Miss Monde, elle étudie le journalisme puis la comédie à Cleveland. Installée à Chicago, elle se produit dans les spectacles The Sound of music et The Wiz. Parallèlement, elle mène une brève carrière de mannequin avant de décrocher ses premiers rôles à la télévision, dans les séries The Living dolls en 1989 et Côte ouest en 1991.

La même année, Halle Berry débute au cinéma aux côtés de Samuel L. Jackson dans Jungle fever de Spike Lee, cinéaste qu'elle retrouvera à l'occasion de Girl 6 en 1996. Enchaînant les seconds rôles, elle campe une strip-teaseuse dans Le Dernier samaritain, donne la réplique à Eddie Murphy dans Boomerang, apparaît aussi bien dans le divertissement La Famille Pierrafeu que dans le grinçant Bulworth, fable politique de Warren Beatty. La consécration arrive en 2000 grâce à X-men de Bryan Singer. Elle y incarne Tornade, personnage capable de manipuler les phénomènes météorologiques, rôle qu'elle reprendra dans les suites de ce blockbuster, en 2003 et en 2006.

Après avoir prêté ses traits à sa glorieuse aînée Dorothy Dandridge pour un téléfilm (ce qui lui vaut un Golden Globe en 2000), Halle Berry est la première actrice noire à décrocher un Oscar, en 2002, pour son émouvante performance d'épouse de condamné à mort dans A l'ombre de la haine de Marc Forster. La belle plante ne renonce pas pour autant au cinéma d'action : atout charme de l'Opération Espadon, elle joue les James Bond girl face à Pierce Brosnan dans Meurs un autre jour (2002). Dirigée ensuite par deux frenchies expatriés, elle campe une psy troublée pour Mathieu Kassovitz (le thriller surnaturel Gothika) en 2003 et enfile le sensuel costume de Catwoman dans l'adaptation par Pitof du légendaire comics (2004).

La motivation de Halle Berry

Halle Berry souhaitait plus que tout le rôle d'Audrey. "Les bons rôles sont rares, surtout pour les femmes, explique-t-elle, et on ne les décroche pas sans se battre. Audrey n'avait pas été écrite pour une actrice black, et les gens ne me voyaient pas spécialement dans cet emploi. J'ai donc demandé très tôt à mon agent de m'arranger un rendez-vous avec la réalisatrice. J'espérais que Susanne ne me jugerait pas sur mon image." Susanne Bier évoque en souriant le spectacle d'une Halle Berry "non maquillée, les cheveux en bataille, et divinement belle". Mais elle fut surtout impressionnée par "l'intensité de son interprétation, la rage avec laquelle elle jouait ce rôle, les risques qu'elle prenait scène après scène."

Sandra à la place d'Halle

Halle Berry passa à côté du principal rôle féminin de Speed de Jan De Bont qui a finalement été attribué à Sandra Bullock.

 

TAGHIT

taghit
taghit 

Tel un météorite, elle surgit deux fois l’an, l’espace d’un Festival international du court métrage et le temps d’un Maoussim immémorial célébré trois jours durant pour rythmer le quotidien d’une population, qui, le reste du temps, est livrée à des aléas qui sont loin de constituer une sinécure. Au même titre que certaines régions de l’Extrême Sud algérien, Djanet, Timimoun ou bien Tamanrasset, elle attend son heure pour être propulsée au rang de destination touristique incontournable. Le tourisme saharien a ceci de particulier, il ne se pratique en général qu’à partir du mois d’octobre jusqu’au mois d’avril au plus tard. La raison est simple: les températures sont très clémentes durant cette période de l’année qui s’étale approximativement du début de l’automne à celui du printemps. Des conditions climatiques idéales durant pratiquement six mois pour les férus de randonnées et de bivouacs. L’événement est cyclique. Il a pour paradoxe d’illustrer les difficultés d’un secteur touristique qui ne tire que faiblement profit des énormes potentialités dont regorgent toutes ces régions si particulières du territoire national. Des patrimoines matériel et immatériel qui portent en eux un pan de l’histoire de l’humanité souvent pas assez mis en valeur, livré à lui-même. Des témoignages menacés faute de mise en place d’une véritable et efficace stratégie de préservation et de valorisation d’un héritage culturel au caractère universel attesté. Les lois et les décrets ne sont d’aucune efficacité si la présence sur le terrain et une vigilance accrue de tous les instants sont inexistantes. La menace est irréversible dans le cas de la préservation des peintures et gravures rupestres tandis que la folklorisation forcenée et tous azimuts des événements culturels à l’instar de la Sbeïba à Djanet dans le Tassili des Ajjers ou du Maoussim à Taghit témoignent, quant à eux, beaucoup plus d’une incompétence avérée de ceux qui ont en charge la responsabilité de ce secteur. Taghit «l’enchanteresse» vit ainsi, à la fin du dernier week-end de chaque mois d’octobre, au rythme de son Maoussim qui célèbre une fête dédiée entièrement à la datte. Des dons et des offrandes sont destinés aux familles les plus démunies. La récolte de la datte est aussi une occasion pour réunir l’ensemble des voisins de cette magnifique oasis de la Saoura autour de ce rite vieux de plus de XIX siècles. La tradition ainsi instaurée, est fêtée trois jours durant au rythme des instruments de musique: le bendir, le goumbri qui soutiennent des chorales dont les chants ressemblent à des complaintes qui parviennent des temps immémoriaux. Au même titre que la Sbeïba de Djanet dont le message est interprété à travers le prisme déformant d’un certain ethnocentrisme véhiculé par les ethnologues des anciens empires coloniaux et d’une folklorisation récente des nostalgiques de la culture dominante, le Maoussim de Taghit mérite autant que l’Ahellil du Touat-Gourara d’être élevé au rang de patrimoine mondial de l’humanité. Cette petite localité située à quelque 95 kilomètres de Béchar, le chef- lieu de wilaya, en plus d’être une petite merveille pour les yeux par la splendeur des dunes du grand erg occidental qui donne l’impression de lui tourner le dos tout en la protégeant est surtout un haut lieu de la civilisation néolithique. Les gravures rupestres de la région de Taghit représentent une faune très variée à l’instar de la station de Zaouïa Tahtania (éléphants, antilopes, autruches, gazelles et des représentations humaines) des trésors qui datent depuis plus de 5000 ans avant J.C. et qui furent découverts durant la colonisation française. Ce qui atteste d’une présence humaine dans la région de Taghit qui doit remonter à la nuit des temps et d’une civilisation de pasteurs artistes avérée que l’on retrouve dans le Tassili des Ajjers qui jouxte l’oasis de Djanet. Taghit, au même titre que les innombrables ksour que recèle le Sud algérien, représente avant tout une occupation humaine, rendue possible grâce à une abondance de l’eau qui a eu pour conséquence la pratique des travaux agricoles et la sédentarisation, par ricochet, des populations de pasteurs artistes dont le témoignage le plus édifiant est porté par les peintures et gravures pariétales qui nous sont parvenues à travers les âges. Aujourd’hui encore, l’économie de Taghit se résume essentiellement au travail de la terre. Près de 95% de la population de l’oasis sont des agriculteurs, de petits agriculteurs qui vivent principalement des travaux des champs. Leurs moyens sont rudimentaires. Une seule innovation de taille: l’apparition de la pompe à eau. Une machine qui aide à assécher un peu plus des puits qui ont du mal à se régénérer à cause des chutes de pluie irrégulières quand ce n’est pas des sécheresses qui peuvent durer plusieurs années. Certains y voient à long terme l’inexorable épuisement de la nappe phréatique. Des eaux fossiles qui témoignent d’un climat plus généreux il y a quelques milliers d’années. Cela sonne comme l’annonce d’une totale incompréhension, une rupture, entre l’homme et la nature, entre Taghit et ceux qui la savourent béatement le temps d’un festival.

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TLEMCEN

TLEMCEN
TLEMCEN 
La ville de Tlemcen, en Algérie est caractérisée par des mosquées et des maisons blanches et ils arrivent sur une colline entourée d'oliviers et de vignobles mérité le titre de la ville - du musée.

  Commencez un voyage d'exploration Tlemcen Square Promenade, qui était un centre de l'administration gouvernementale dans la Corne de siècle athée.

  Toujours dans le square de la ville est le célèbre Place Abdul Qadir, et le musée archéologique, qui a remplacé une petite mosquée était connue comme la Mosquée Sidi Belhassen. 

  Et la vieille ville fortifiée, et a de nombreuses attractions, le sanctuaire le plus fameux de Sidi Boumedienne.

  Avant de quitter Tlemcen conseillé de monter au château qui domine la ville, et fut le siège des colons français comme un appartement de luxe.

  Tlemcen est la position la voie à la pergola, puis à l'œil jaune, et que la région occidentale de l'Algérie où le bain bain fameux nommé Bo destination gargariser de personnes souffrant de maladies de la peau, et est situé entre la vallée et Wadi Moulay Tvenp.

 

 

 

 

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